Marc de Boisnoir, officier de sa Majesté le Roy

NOM: Boisnoir (de)
Prénoms: Marc Donatien
Age: 39 ans

Emploi: Lieutenant Général des Armées Navales

Poste: Commandant des forces françaises d'outre-mer

Physique: Boisnoir est assez grand, 1 mètre 78. Il est assez svelte mais il possède des épaules assez larges comparées à sa carrure. Il possède un visage marqué par ses années au soleil des tropiques... Il possède de petits yeux vert turquoise brillants d'intelligence dont l'un est légèrement plus petit que l'autre. La forme de son nez est harmonieuse. Il a des cheveux châtains (mais blonds à l'origine) qui ne grisonnent pas encore mais de toute façon il porte toujours une perruque à doubles rouleaux. Sa voix est assez grave mais possède une certaine douceur qui est due à son expérience politique.
• Style de vêtements : Boisnoir porte comme il est ordonné pour tout soldat son uniforme. Il dispose de trois uniformes. Le premier est le grand uniforme des Vices Amiraux bleu à parements rouges et largement galonné d'or. Le second est le petit uniforme. Uniforme bleu à revers rouges galonnés d'or. Il porte occasionellement deux épaulettes marquées par les trois étoiles d'or de Vice-Amiral. Enfin, il porte en mer l'uniforme de surtout bleu avec les épaulettes pour seules distinctions. Amateur de bas, il porte si nécessaires des guêtres de cuir par dessus ses souliers.
• Signe Particulier : Il possède une légère cicatrice sur le sourcil gauche ainsi qu'une marque que lui a laissé Jack lorsqu'ils ont travaillé ensemble à l'instar de beckett cette marque est gênante et peu savent ce qu'elle est réellement...

Caractère: • Caractère Général : Son expérience avec l'amour le pousse à se tenir à l'écart de tout ce qui est sentimental. Pourtant son manque d'affection féminine durant sa jeunesse entraîne une admiration systématique des femmes de forte personnalité. D'un naturel plutôt calme il est cependant capable de colères aussi courtes qu'impressionnantes. Assez orgueuilleux et mégalomane, il a une ambition presque illimitée renforcée par son caractère manipulateur et sans scrupules. La guerre acharnée qu'il a menée contre les pirates lui a valu le surnom de Main de Dieu. Ce surnom a renforcé sa mégalomanie et son fanatisme religieux, il se croit investi d'une mission divine consistant à faire respecter l'ordre et régner la justice sur les Océans. Intelligent et cultivé c'est un militaire de carrière qui a des amis trés haut placés dans les milieux du pouvoir. Il est donc très bon stratège et tacticien naval hors pair. Boisnoir est aussi un être raffiné qui ne néglige pas les plaisirs de la bonne chère un des nombreux restes de son éducation aristocratique il est plus particulièrement amateur de viandes. C'est aussi un grand amateur d'alcool en tous genres qu'il consomme avec modération, il peut s'agir de cognac, de vin français ou encore de rhum. Il aime aussi accompagner une bonne table d'un cigarillo de La Havane. Il est aussi assez hypocrite mais c'est un orateur de génie capable de mener son équipage à la victoire en les haranguant. C’est à force de beaux discours qu'il a pu bluffé ses semblables et se hisser là où il est. Il manie l’épée parfaitement mais est un peu moins à l’aise avec un sabre, c’est aussi un excellent tireur.
• Ce qu'il/elle n'aime pas : Les Anglais qu’il a combattu durant des années et surtout leurs navires qu’il juge laids et immondes par rapport aux vaisseaux français. Même s’il a cherché à offrir la rédemption aux Pirates en leur proposant de devenir corsaires au nom du Roi de France ces derniers l’ont souvent combattu ce qui explique la haine entre Boisnoir et les Pirates. Sa collaboration avec Jack Sparrow qui s’est conclu par un échec le pousse à une rancune tenace envers lui et son Black Pearl (Pouah!) qui a coulé son navire lorsqu’il servait dans la Compagnie des Indes. On ne sait pas pourquoi mais il déteste les frelons, les araignées et autres créatures ressemblant aux insectes et aux arachnides.
• Ce qu'il/elle aime : Marin de carrière il navigue depuis l’âge de 16 ans il aime donc beaucoup la mer. Son ambition démesurée le mène à une véritable quête du pouvoir qui lui permet de conserver un certain pouvoir sur son destin. Comme Jack il aime beaucoup les navires qu’il a commandés ou sur lesquels il a navigué et ayant un goût particulier pour les démonstrations de force et la démesure il a un faible pour son Royal Louis. Même s’il n’a pu acheter l’amour de Julia il a continué à croire que l’argent pouvait tout acheter même le bonheur et ses années dans la Compagnie des Indes lui ont permis de développer une certaine avidité et un don pour le commerce qu’il affectionne particulièrement. Orgueilleux rien ne le réjouit plus que la victoire, un duel, une bataille navale et la réussite. Amateur d’alcool il affectionne particulièrement le cognac et le bordeaux qu’il a découverts lors de ses études, les cigarillos lors de ses voyages aux Antilles et le thé lors de ses voyages en Inde
• Tic : Lorsqu'il est nerveux, il tapote la garde de son épée de façon plus ou moins rapide selon la situation.

Histoire:

I. Origines et premières années.

Marc est né à Bordeaux, dans une famille de vieille souche aristocratique originaire d'Aquitaine, mais il n'en est malheureusement pas l'aîné. Il ne doit donc compter que sur lui même pour gagner le respect de sa famille et se faire remarquer à Versailles. Il reçoit une excellente éducation et obtient les meilleurs résultats de la famille malgré une faiblesse en mathématique. Il vit toujours en compétition avec son frère vaniteux et est sans cesse rabaisser par son père qui le juge trop ambitieux pour un cadet de famille. Seule sa mère, son autre frère et sa plus jeune sœur lui témoigne d’une véritable affection même si son caractère le pousse à sa brouiller avec son frère alors qu'il n'a que 17 ans. L’ambiance familiale le pousse à quitter le domaine et à l’instar de son frère aîné, il choisit la carrière des armes mais préfère se tourner vers la Mer.

II. Premières armes dans la Marine et blessures de coeur.

Marc entre donc dans la Marine à 13 ans lorsqu'il revient sa mère a quitté ce monde. A 20 ans, il devient enseigne puis lieutenant à 24 ans. Pendant la guerre contre les Hollandais et les Britanniques, il sert aux Caraïbes puis au siège de Madras, et enfin en tant que corsaire en Inde d'où sa connaissance de la région.

Vers la fin de la guerre, sa réussite et les richesses qu'il a amassés lui montre qu'il n'a toujours pas trouvé l'amour. Pourtant il nourrit un amour secret pour une jeune noble Julia de Nantaux. Cette dernière est fiancée avec le meilleur ami de Boisnoir. Un duel entre les deux hommes a lieu qui voit le triomphe de Boisnoir. Il emmène alors Julia avec lui et lui fait construire une ville et un palais: La Croix des Indes. Malgré les présents dont il la couvre en pillant les villages des Indiens alliés des Anglais Julia ne cesse de voir Marc comme un homme cruel et sanguinaire, elle reste fidèle à son amour d'enfance. Lorsque les habitants de la ville se révolte contre Boisnoir Julia juge qu'elle est responsable de la folie meurtrière et de la soif de pouvoir de Marc. Elle met fin à ses jours devant ses yeux. Depuis ce jour Marc ne croit plus en l'amour et ne peut s'empêcher de voir tout sentiment de sa part comme une faiblesse.

III. Au service de la Compagnie des Indes Orientales.

Il épouse ensuite la fille unique d'un des dirigeants de la Compagnie des Indes française. Ce dernier meurt au cours de l'année.

Durant la paix, il quitte la Marine Royale pour commander un navire dans la Compagnie des Indes: le Ville de Lorient. Il s'enrichit rapidement grâce à ses dons pour le commerce, il pourchasse le capitaine Chevalle et Ammand le Corsaire seigneurs pirates la Méditerranée sans succès...

Puis il est envoyé à Tortuga pour une mission secrète. La France veut en fait reprendre possession de l’île et détruire le repaire de pirates. C'est là qu'il fait la connaissance pour la première fois avec Jack Sparrow. Après moult débats, Boisnoir convint ce dernier d’accepter le poste de gouverneur de Tortuga. Pendant que Jack profite de son tout récent pouvoir, Boisnoir exécute les habitants à tour de bras, réquisitionnant leurs biens pour ses propres intérêts. Des centaines de personnes périrent en quelques semaines. Mais une Résistance de boucaniers, s’organisent très vite. Par ailleurs Jack qui s’est rendu compte de l’ambition de son partenaire, s’éloigne et est de plus en plus difficile à manipuler. Les Français sont contraints de quitter l’île. Pour échapper à la mort et à la fureur de Boisnoir, Jack se cache dans une des malles personnelles de Boisnoir. Dans le canal qui sépare l’île de Saint Domingue, la flotte française livre une terrible bataille aux nombreux navires pirates sous armés. A la tête de cinq navires, Boisnoir mène l’attaque et semble mener sa flotte à la victoire. Jack sort à ce moment de sa cachette et est contraint au duel par Boisnoir durant lequel le malicieux pirate blesse l’orgueilleux capitaine. S’échappant à la nage, Jack regagne le Black Pearl faisant face à un Boisnoir plus téméraire que jamais. Soudain un banc de brume se lève et semble isoler les deux navires. Mais lorsque le vent revient, Boisnoir contemple avec dépit son désastre. Isolé du reste de la flotte, il doit faire face à tous les navires pirates. Face à un tel péril son puissant navire, le Duc de Penthièvre et ses 74 canons ne fait pas le poids. Le Black Pearl et le Duc de Penthièvre se retrouvent enfin bord à bord, les canons de 24 livres creusent dans les rangs des pirates des sillons sanglants mais le navire français croule sous le nombre et sa Sainte Barbe explose. Le navire sombre entraînant avec lui la majeure partie des 600 hommes d’équipage.

IV. "Marc de Boisnoir... as-tu peur de la mort?"

Mortellement blessé Boisnoir s’enfonce dans les abysses quand une voix s’adresse à lui : « Marc de Boisnoir, as-tu peur de la mort ? ». Boisnoir passe alors un pacte avec Davy Jones pour survivre et ainsi avoir l’occasion de se venger de Sparrow. En échange, Jones lui demande 111 années de services à bord du Hollandais Volant Boisnoir refuse et lui propose en échange de lui ramener 111 âmes. Monstrueux, Boisnoir réparait quelques semaines plus tard alors qu’on le croyait mort. Il s’affaire à régler sa dette dés le début, en raflant des marins sur toutes les côtes du Monde, craignant sans cesse de voir le terrible Jones l’entraîner avec lui au fond des abysses.

V. Au service de Sa Majesté le Roy, la seconde guerre.

Nommé représentant du Roi aux Indes, Boisnoir se rend à Madras qu’il avait jadis assiégé pour une mission diplomatique. Au cours des négociations, il rencontre le jeune Sir Cutler Beckett, chevalier du Bain et mène avec lui les négociations. Les deux hommes se reconnaissent des intérêts communs et mènent alors quelques petits trafics dans le dos de leurs supérieurs (entre autre traite négrière,…). Mais les négociations échouent, calmant un peu le jeu elle ne permette pas d’empêcher la guerre qui éclate quatre ans plus tard.

Nommé capitaine de vaisseau, Boisnoir prend le commandement de la frégate Cerbère de 44 canons, il sévit en Méditerranée poussant l’audace jusqu’aux côtes d’Albion. Ses exploits lui valent le commandement d’un vaisseau de ligne, le Terrible de 74 canons avec lequel il s’attaque aux comptoirs anglais dans la Baie d’Hudson. Nommé chef de division l’année suivante, il hisse sa marque sur l’Ambitieux, superbe deux ponts de 80 canons, il a sous ses ordres six autres bâtiments de tailles diverses. Il s’allie avec les pirates pour harasser le commerce anglais et entend alors parler de la légende du Black Pearl. Loin de penser à un conte, il traque le navire pirate et son terrible équipage. Piégeant Barbossa au fond d’une baie, il menace de couler son navire si ce dernier n’écoute pas sa proposition. L’accord est fructueux, il passe un pacte avec Barbossa pour que celui-ci s’attaque aux navires anglais dans les Caraïbes et assiste les Français dans leurs opérations, c’est lors de cette mission que Barbossa s’attaque au navire qui transporte William Turner. Grâce à cette aide précieuse, Boisnoir détruit de nombreux comptoirs portugais et anglais. Mais la France se retrouve en fâcheuse posture et Boisnoir est rappelé au pays. Il reçoit le commandement d'un superbe vaisseau de ligne, le Royal Louis, trois ponts tout neuf, où il officie en tant que capitaine de pavillon. L'escadre assemblée sous le commandement d'un amiral vieux et incompétent doit partir pour le Brésil et s'en emparer. L'escadre lève l'ancre et livre quelques combats sans importance avant d'apercevoir les huniers d'une goélette en provenance de Rochefort. Elle apporte les nouvelles de la paix. Sans avoir pu réaliser de coups d'éclat l'escadre rentre à Brest où elle est désarmée. Cet échec en partie du à la lenteur du supèrieur de Boisnoir vaut au vieil amiral d'être destitué, Boisnoir est alors promu à sa place et reçoit enfin sa commission de Chef d'Escadre alors qu'il n'a que 37 ans.

VI. Officier général.

Le nouveau poste de Boisnoir lui convient parfaitement, tout comme sa toute nouvelle autorité. Il se constitue un Etat Major compétent qui l'accompagnera lors de ses campagnes. Il choisit comme aide de camp l'enseigne de vaisseau Virgile Delépine, jeune officier du Royal Louis qu'il avait eu l'occasion de remarquer auparavant. Cet homme loyal, intelligent et surtout capable de bien des tâches devient très vite l'âme damnée et l'homme de main de Boisnoir. Boisnoir lui laisse souvent une trés grande initiative dans les basses besognes qu'il peut lui confier ou alors lui délègue une partie de son autorité une fois en mer. A bord de son ancien vaisseau, l'Ambitieux, puis du Ferme, Boisnoir participe à diverses campagnes aux Caraïbes puis sur les côtes de l'Afrique méditerranéenne où il livre de féroces batailles contre les pirates barbaresques. Ses victoires lui valent les éloges de la Cour et il est appelé par le Roi en personne. Il passe ainsi près d'un an à Versailles.

VII. La campagne de l'Armada.

Ses qualités de courtisan lui valent le titre de comte et la grand croix de l’Ordre de Saint Louis ainsi que l’admission dans le très prestigieux ordre du Saint Esprit, il est aussi nommé Commandeur de l'Ordre de Malte en récompense de ses victoires sur les Barbaresques. Boisnoir parvient aussi à obtenir la promotion de certains membres de son Etat Major et leur admission dans l'Ordre de Saint Louis. N’ayant de cesse de déclencher des intrigues pour recevoir un nouveau commandement, l’appui des Choiseul lui vaut le commandement d’une puissante escadre forte de 21 vaisseaux, 9 frégates et 13 bâtiments plus petits en vue d’escorter aux Antilles un convoi de 300 voiles. En réalité, l’escadre française doit rejoindre les forces de Lord Cutler Beckett pour éradiquer la piraterie. Arrivé à Brest, Boisnoir hisse sa marque sur le Royal Louis, fier trois ponts de 124 canons, qu'il avait commandé jadis, et appareille deux semaines plus tard. Au large de Cadix, il est rejoint par le reste de son escadre en provenance de Toulon et de l’escadre espagnole devant se joindre à la Flotte Combinée. C’est alors une force massive, 37 vaisseaux de ligne, une trentaine de bâtiments de plus faible tonnage et des centaines de transports et de navires marchands qui se dirigent vers les Caraïbes. Un triste jour semble se lever pour la piraterie.

L'imposante flotte arrive dans les Caraïbes aprés quarante neuf jours de traversée. Temps assez long mais honorable quand on pense que le convoi et les vaisseaux espagnols ralentissaient les navires de guerre français. Aprés avoir convenu du rendez vous de l'Armada, les navires s'éparpillent pour aller ravitailler en eau dans leurs îles respectives. Avec le Royal Louis et la division de bataille, Boisnoir fait voile vers Haiti et mouille au Cap Français. Après avoir pris ses fonctions de gouverneur-général des Iles des Caraïbes, il lève l'ancre et apareille pour Port Royal, où il doit faire la rencontre de Lord Beckett. En chemin, il croise le Black Pearl qui fait voile vers Singapour, Boisnoir a alors cette phrase: "on écrase pas une mouche avec une enclume, alors que l'on peut enfumer tout le nid". Le lendemain le vaisseau français mouille en rade de Kingston. Aprés voir rencontré Beckett et Norrington, Boisnoir séjourne quelques jours à Port Royal. Il y rencontre la machiavélique et non moins charmante Lady Hargreaves, actionnaire de la Compagnie des Indes Orientales. Il décide de s'en faire une alliée au cas où. Au bout d'une semaine, le Royal Louis et la flotte anglaise lèvent l'ancre. Ils sont ralliés dans le Passage au Vent par l'escadre espagnole de Cuba, puis entament un périple à travers les petites Antilles pour rallier les autres navires. Ils se dirigent enfin vers Maracaibo dont l'immense lac est le seul à pouvoir abriter l'immense Flotte Combinée. Cette jonction s'effectue quelques jours plus tard. L'Armada est enfin réunie.

La puissance de frappe de l'Armada et sa taille est gigantesque. En tout, ce sont près de quatre vingt dix vaisseaux de ligne, cinquante frégates et une centaine de bâtiments de bas bord, à cela s'ajoute plus de cent vingt navires des Compagnie des Indes Anglaises, Françaises et Hollandaises. Des milliers de canons, des tonnes de bois, des kilomètres de cordages et plus de cent milles hommes, soldats, marins et officiers constituent sa moelle épinière. Son rayon d'action couvre la côte américaine du Cap Horn aux glaces de l'Arctique. Accompagnée par le Hollandais Volant, L'Armada est invincible et terrifiante.

Mais Beckett ne parvient pas à l'exploiter. Au lieu de s'attaquer en force à tous les repaires pirates, il laisse au Hollandais Volant le gros du travail. Avide de combat, Boisnoir parvient à obtenir carte blanche de Beckett. Avec ses navires, Boisnoir quadrille les Caraïbes et s'empare de Tortuga, de l'île de Mona puis éradique la piraterie dans les Iles Bahamas et dans les Mosquito. Ces actions d'éclat lui permettent de s'accaparer plusieurs trésors et bijoux au nom de la France. Il capture plusieurs pirates détruisant ou prenant leurs vaisseaux. Mais bientôt l'Armada reçoit l'ordre de Beckett de faire voile vers Singapour.

Relations:
Boisnoir connaît bien la Cour qui lui a permis grâce à sa popularité d'obtenir des commandements de prestige mais c'est surtout avant tout un militaire et un diplomate. Il connaît de nombreux officiers mais la plupart de ses supèrieurs le jalousent en raison de ses succés et de ses relations. Par ailleurs son côté ambitieux ne plaît guère. Boisnoir est aussi proche des milieux financiers et plus particulièrement parmi les grandes familles négrières de Bordeaux. Diplomate, il a cotoyé les plus grands qu'il s'agisse des souverains d'Espagne, du Portugal ou encore des représentants de la République Batave ou des nababs d'Inde. Toutes ces relations l'aident lorsqu'il doit travailler aux alliances avec ces nations. Enfin pour clore en beauté, il a eu l'occasion de travailler aux côtés de Beckett mais n'oublie pas pour autant que ce dernier est un des plus farouches adversaires de la France.

Pourquoi avoir choisi ce personnage? Au risque de copier, je définirais Boisnoir comme un homme machiavélique, manipulateur, stratège et tacticien hors pair mais dont les talents tactiques se conjuguent avec une ambition démesurée et un sens du sarcasme indéniable que l'on peut retrouver chez moi dans un moindre degré. C'est aussi un touche à tout et un personnage complexe qui peut attirer la compassion en raison de son passé, ce qui n'est pas mon cas. C'est donc un militaire autant qu'un diplomate. Pour cela j'ai décidé de l'interpréter afin de donner à Beckett un allié/adversaire à sa mesure et aux pirates un poursuivant aussi acharné que Norrington et rusé que Beckett.

Ouf quelle présentation!

Bienvenue! C'est un grand honneur de vous compter parmi nous commandant de Boisnoir!
Amuse toi bien!

Je n'ai rien contre la concurence qui s'avère être utile en temps de guerre.

Bienvenue Marc !

Bienvenue parmis nous

Oh,un mangeur de grenouilles...Bienvenue parmis les roastbeafs,Amiral ^^ C'est que l'on croise du beau monde désormais



Bienvenue à vous !

Rosebeef James, sa se dit Rosebeef