promenade (pv premiere persone XDD un soldat si possible XD)

[i]La jeune femme marchait dans la ville...elle venait de quitté le manoir de James et voulait sortir marcher un peu...el;le portait des vetement d'hommes ce qu'elle detestait et passa devant son ancien manoir qui encore était surveillé...cela l'attristait juste de savoir qu'elle n'aurait plus cette vie qu'elle avait tant aimé...elle devrait se contenté de vivre en volant ou sur la mer,Annélie s'approcha des grilles avec un air triste...maintenant elle devait se caché.....elle quitta le manoir pour allé marcher vers la plage...rendu la elle s'etendit sur le sable chaud esperant qu"aucun soldat ne la verrait car elle savait que si ils la voyait elle devrait faire ca a Becket ce qui l'ennuyait grandement

Hj: 'Cause it's you and me,and another people.... "x)

Des pas,sur le sable.Silencieux.Souples.Car leur créateur était de nature un homme discret.Un homme discret qui n'avait plus de moyens à l'esprit pour sauver une de ses amies.

-Bonsoir,Annélie...

Simple murmure.Elle n'aurait pas dû sortir,on lui avait avec raison interdit de se montrer,au risque que les hommes du Lord,les asassins du Roi ou encore les chasseurs de primes attirés tels des loups assoiffés de sang par les clinquantes primes que les grnds du Royaume leur faisaient miroiter de la capitale anglaise ne l'aperçoivent,ne l'arrêtent,ou pire.Mais James ne lui dirait pas ce soir-là qu'elle aurait dû être plus prudente.Qu'il fallait rentrer,maintenant.Que l'heure était bien tardive pour qu'une princesse déchue reste ainsi éveillée sur une plage déserte.
Non,les recommandations,les mises en garde,ça suffisait pour le moment.Juste... Rester là.Ne plus bouger.Se laisser aller.Ne plus songer à rien.Envoyer au Diable tout leurs détracteurs.Car cette nuit,ils étaient libres.Libres de parler,de rêver,de s'évader par l'esprit de ce monde abominable.
Norrington,sentant son coeur devenir aussi lourd qu'un poids,s'assit aux côtés de la jeune femme,les jambes pliées en des V inversés,mais pas pour autant serrées l'une contre l'autre et ramenées contre son torse en une attitude défensive ou craintive,simplement pour que ses genous soient l'appui de ses bras croisés.

-J'immagine que vous souhaitez être seule,et je le comprends parfaitement.Simplement... Avant de vous rendre votre solitude... Et de vous laisser repartir vers d'autres pays,d'autres horizons... Que je suis sincèrement navré.Pour la perte de votre père,cela,vous le savez... Mais aussi pour n'avoir pas été capable de vous offrir toute la sécurité qui vous est nécessaire,les chances de repartir de zéro,les opportunités d'obtenir une nouvelle vie,les clefs d'un bonheur futur.En tant qu'ami... Et bien j'ai fais mon possible,mais ce possible était insuffisant.Ce n'était pourtant pas faute de ne pas le désirer... Veuillez m'en excuser.

Après ce court discours,l'Amiral plissa les lèvres,avant de poser pour la première fois les yeux sur la jeune femme.Il était préoccupé,cela se voyait.Puis,tenant sa promesse,l'anglais s'appuya sur sa main droite afin de se relever.De s'effacer.Avec un "au revoir" maladroit.Quand ferait-elle ses bagages ? Dans quelques heures,en rentrant au manoir ? Le lendemain à l'aurore ? Anxiété.Anxiété qu'elle ne lui dise pas adieu en le quittant,peut-être définitivement.La demoiselle était une femme libre.Et c'était certainement l'heure pour elle de s'envoler de ses propres ailes,loin de la ville où vivait son ami,mais qui l'étouffait telle un corset.Accepeter.Et lui souhaiter bonne chance.

bonsoir

murmura t'elle aussi,elle continuait de fixer la mer qui était calme a cet heure ci,il avait raison sur un poiint,elle voulait etre seule mais pas completement

-Je ne partirais pas avant d'avoir reglé le probleme de Becket,je me montrerais face a tout le mponde si il le faut...j'ai deja perdu mon pere et je ne perderait pas un ami en quittant cet endroit,je ne veux plus me sauvé,je veux resté et me battre

Elle semblait determiné dans sa decision...

-Restez donc avec moi ce soir je vous en pris

Avec un bref hochement de tête,le soldat accepta son invitation,avant de reprendre sa posture initiale.Les flots semblaient si sombres sous la pâle clarté des étoiles,comme si ces dernières avaient été erreintées de dispenser leur lumière bienveillante.Dans les nuées vidées de tout voile nuageux,un croissant de Lune siégeait,souverain,au dessus du monde.Bientôt,l'astre serait plein,appelant à lui les eaux et créant ainsi la marée.Le britannique se souvint de certaines nuits de plein Lune où la guerre avait fait rage à Port Royal,à cet instant paisible,endormi.La situation aurait pu être pire.Et en même temps,bien mieux.

-J'avais songé que vous diriez cela... Autant que la tournure qu'aurait pris la dernière fois que nous nous serions vus.J'immagine que vous avez un plan...?

Et oui,la demoiselle était comme cela,inutile de lutter contre sa nature.Cependant,s'était-elle trouvé des partisants dans la ville portuaire ? C'était peu probable.Içi,ls opinions politiques se limitaient à être pour ou contre le Lord.Le Roi,on le laissait aux gens de Londres.À par lui-même,Norrington ne voyait personne d'aut... Problème.

-J'immagine aussi,reprit-il,le gris de ses yeux troublé,une expression inquiète peinte sur ses traits,que vous escomptez me demander une assistance poussée dans votre projet,puisque je suis au service de celui que vous prenez pour cible...

Bien sûr que James approuvait la démarche d'Annélie.Et se sentait prêt à lui tendre la main,comme par le passé.Seulement là,il ne s'agissait plus de la loger,mais de lui permettre d'entrer dans des locaux interdits aux civils,pour la regarder menacer ou blesser légèrement -ou même pire- un haut représentant de la Couronne d'Angleterre,voler des documents,en gros commettre des actes de trahisons et quasiment de piraterie.Cas professionnel.Cas de conscience.Et gros soucis en perspective.Nouveau soupir,puis lui aussi fixa l'Océan,soucieux,les sourcils inconsciemment froncés,son menton enfoncé un peu plus profondément derrière ses bras croisés.

-non je n'en ai aucun...mais je trouverais....au peril de ma vie..

Annélie était prete a tout...elle savait que son pere a l'heure actuelle était deja mort...il ne restait qu'elle et la jeune femme était rechercher activement,puis elle eut un petit sourire en attendant James

-je ne vous force pas..mais il faudra un jour ou l'autre que vous decidiez vraiment le camp choisir...Becket ne fait que détruire des vie pour son propre plaisir

Elle se laissa alors tombé sur le dos,et plongea ses pied dans le sable qui devenait froid...regardant alors les étoiles

Une expression douloureuse se peignit sur les traits du militaire.Fou comme il avait l'impression d'entendre Elizabeth,Astrée... Ou encore son patron... Tout le monde n'arrêtait pas de lui dire cela,sans paraître comprendre que le simple fait de penser à abandonner l'un ou l'autre des partis le faisait souffrir.

-Je le sais fort bien,Annélie... Mais mettez-vous à ma place : la Compagnie des Indes est tout ce qu'il me reste au monde.Je veux dire... Je n'ai pas de femme,pas d'enfants,pas de famille,et vous,vous avez votre quête.Personne ne m'attend,à votre instar.J'aime voguer sur l'Océan,et défendre l'Angleterre.Si on m'enlève cela,je ne suis plus rien.Et il est hors de question que je retourne d'où je viens.

Une lueur farouche de détermination s'embrasa dans son regard.Tortuga.L'humiliation,la flibuste,la boue et le mépris de ces chiens galeux.Plus jamais ça.James se l'était juré,plus jamais il ne tomberait aussi bas.Pas alors que tout le monde faisait fi de son bonheur.

-Vous me voyez comme quelqun de parfait,reprit-il d'une voix sombre,lugubre,mais vous seriez étonnée de connaîter le nombre de personnes que je fais souffrir.Des personnes bien qui ne méritent pas cela.

Des exemples ? L'anglais en avait au moins trois.La jeune femme évoquait la mort,mais parfois,avec le plus grand sérieux du monde,on pouvait envier les trépassés,qui au moins n'avaient plus à se soucier de rien.Mais... C'était cela,la solution ! Eurêka !
Le britannique se tourna vivement vers la demoiselle,et la flamme de ses yeux devint impatience,presque ravissement.

-Mademoiselle,il se pourrait bien que j'ai trouvé le moyen de vous faire rencontrer Lord Cutler Beckett,et peut-être cesser les poursuites à votre égard... Mais avant de vous annoncer mon idée,j'aurais aimé savoir ce que vous comptez lui dire.Car il ne peut vous réhabiliter en tant que princesse,il n'en a le pouvoir.Je vous avouerai que je crains un peu pour sa vie.

-vous n'avez peut-être plus persone mais je suis la..je vous aiderais....je ne veux pas partir seule si je dois partir...il ne faut pas se resigner a se dire que votre vie est deja faite...moi non plus je n'ai aucune famille aucun enfant et aucun mari et je compte faire ce qu'Il y a faire pour qu'Il en soit ainsi

Annélie soupira et regarda James un instant...la elle avait de boire un verre,dans ces moment la elle ne pouvait se resigner a se laissé aller dans ses plans...elle ferma les yeux un moment puis les rouvrit lorsqu'Il parla de Becket

-il fallait que ca arrive...Beckiet est detesté par la moitié des gens ici doinc pas etonnant qu'il soit en dangé

Finalement elle se leva et regarda James

-j'ai envoe de boire un verre

James la regarda se lever,un peu étonné.Bien sûr,c'était un sujet personnel dont ils avaient peu parlé,mais tout de même,il ne s'était pas attendu à ce que la noble dame ait des projets aussi bien arrêtés pour sa vie.Cependant,intérieurement,il ne pouvait que lui souhaiter beaucoup de bonheur,avec un homme bien qui ne connaitrait pas sa chance.
Ce qui le frappa également fut le fait que Norrington se trouvait malheureux,mais ne faisait pas grand chose pour améliorer les choses.Certes,sa marge de manoeuvre était plus que restreinte, mais il n'avait pas cherché à revoir Elizabeth depuis leur dernière rencontre,et n'avait plus eu de nouvelles de miss Yaamen depuis un bon bout de temps... Il se promit de leur écrire à chacune d'elle,tout en se remettant sur ses deux pieds,époussettant sa veste où des grains de sable s'étaient perdus.

-Que faire lorsqu'un homme est coupé entre son coeur et son devoir...? demanda l'officier avec un grand sérieux,pure question rhéthorique.Nul ne le saura jamais...

Son regard gris métal glissa une dernière fois sur la surface de la mer,avant qu'il sourît faiblement.

-J'immagine qu'il m'incombe de vous accompagner,car une femme seule ne pourrait déambuler en pleine nuit vers les établissements de boisson mal fréquentés... Si je puis vous proposer mon bras...

Humblement,le soldat le lui tendit.James lui était reconnaissant pour ses paroles de réconfort,et aurait adoré la remercier,seulement il ne savait quelle formule pourrait le mieux témoigner de sa gratitude.Un jour,sans doute,le gradé saurait...
Sur le long de la berge se trouvaient des bars tenant lieu de rendez-vous aux contrebandiers et autres coupes-jarets,mais on distinguait également le halo rassurant des lanternes d'auberges tenues par des gens honorables,où nulle rixe n'éclatait jamais.

-Suivre son coeur est le seul moyen,selon moi en tout cas...

Elle regarda la mer une dernière fois et se dit qu'elle ne voguera peut etre plus pour se sauvé mais bien par plaisir

-faire son devoir c'est d'être accroché au autres et éxécuté des ordres et suivre son coeur signifie resté soi même et oublier ces ordre pour ne pas avoir de regret...comme moi j'aurais pu retourné en Anglettere en fait mon pere me l'obligeait mais j'ai suivit mon coeur ce qui veut dire que j'ai tout perdu sauf un ami et l'intelliegence deux grana allié

Dit elle avec un sourire au lèvre,seul James réussissait a lui remonté le moral donc il était un bon ami pour elle

-Allons dans une auberge bien simple...

Elle souria et prit son bras avec plaisir

Mais sans grade et sans uniforme,comment aider la population ? Lutter contre les pirates ? Certes,la Navy existait toujours.Cependant,si James quittait la EITC,qui lui disait qu'il obtiendrait une place dans la marine ? Beckett était l'une des personnes les plus influentes à la cour du nouveau Roi,et si jamais son Amiral n'était pas encore mort après avoir posé sa démission,il était à peu près sûr qu'il ne retrouverait par la suite que des portes closes.Alors lorsque l'on connaîtrait le point noir de son dossier,n'en parlons même pas ! Pas de richesses,de parents exemplaires ni de titre sur lesquels s'appuyer...
D'un autre côté,en effet,il y avait Annélie.Pourquoi ne pas refaire sa vie avec elle,se soutenant l'un l'autre dans la plus grande amitié,recherchant chacun de leur côté l'endroit et les circonstances de leur prospérité...?
Le pragmatisme lui rappela alors une variable capitale : ils se trouveraient alors sans revenus.Même si Annélie prenait un petit emploi assez discret pour ne pas qu'on la reconnaisse,comme ouvrière ou femme de chambre -ce qui répulsait James,car une personne de sa qualité n'aurait pu être autorisée à exécuter des tâches aussi ingrates-,le maigre salaire ne serait sans doute pas suffisant pour nourrir convenablement et loger confortablement deux personnes.Impasse sur impasse.

-Je conçois aisément le bien-fondé de votre théorie,miss,mais la logistique tient en horreur touts modes de vie apparentés à l'idée de "vivre d'amour et d'eau fraîche".La vie de poète est attreyante... Mais vous comme moi savons que dans l'existance,on ne peut pas uniquement rêvasser.Et il faut parfois faire des concessions ainsi que quelques ajustements à ses prétentions de pureté d'âme pour subsister en ce bas monde,si vous voyez ce que je veux dire...

Sûr qu'avec le Lord,l'entrée au paradis de l'anglais était légèrement compromise.En attendant,il avait acquis un beau domaine lui permettant d'enfin obtenir le titre de citoyen respectable et notable de Port Royal.Ce terrain avait certes été acheté avec une solde donnée par un homme pendant femmes et enfants,mais qui offrait tout de même à mademoiselle Stuart un abri chauffé et sécurisant.Des mauvais côtés... Mais aussi des bons.
Tous deux marchèrent côte à côte silencieusement,traversant en diagonale la plage avant de retrouver le chemin de terre longeant le rivage.L'établissement vers lequel il se dirigeaient était un ancien relais de poste offrant des rafraichissements au rez-de-chaussée -une salle aux allures de pub- ainsi que des chambres meublées au premier.Les stalles dédiées aux cheveaux avaient été complètement refaites,pour devenir une large véranda où,lorsque le temps était clément comme ce soir-là,des tables étaient instalées au grand air.Pratiquement aucune n'était occupée,et on n'entendait pas l'habituel bourdonnement des discussions propre à ce genre de lieu.
Norrington choisit une table un peu à l'écart,d'où on pouvait voir l'endroit où ils s'étaient tenus tantôt,ainsi qu'une bonne tranche de ciel étoilé.Dans un petit pot de terre,une bougie brûlait doucement,sa flamme vacillant sous les tranquiles souffles d'air venus du large,et semblait bien dérisoire par rapport à la lumière crue venant de l'intérieur,et qui leur permettait de rester bien éclairés même en pleine nuit.

-Rien pour moi,merçi,dit James poliment au jeune serveur venu prendre la commande.

Cette nuit-là,deux personnes assuraient le service.Un gamin,d'environ dix-sept ans,qui n'arrêtait pas de détailler Norrington dans son dos,visiblement extasié de s'occuper d'un haut gradé.L'admiration se lisait dans ses yeux,bien que lorsque le britannique avait tourné les yeux vers lui pour lui adresser une unique phrase,il ait baissé la tête,presque intimidé,tout à son admiration.L'autre personne était une adolescante approchant les vingt ans,le genre de fille de taverne aux moeurs déplorables et à la vanité allant croisant avec l'âge.La belle rouquine,elle,ne posait pas sur le soldat un regard admiratif.Plutôt une sorte de coup d'oeil prolongé,histoire d'évaluer la marchandise.ça la changerait bien des habituels ruffiants qui passaient par sa chambre après un petit verre...
Norrington,toujours aussi imperturbable,sourit à Annélie.

-Je vous invite.Que prendrez-vous ?

» Promenade dans les rues de Londres (PV capitaine james)