Visite de courtoisie & autres bavardages

La grande porte où avait frapper james, donnais sur la seule et presque unique piéce de vie. Elle était vraiment très grande en hauteur ( un navire aurait put tenir dans la piéce ( sans les mats bien sûre ^^) aussi bien en hauteur qu'en longeur). Au centre de la pièce, au sol était mit un grand tapis brodé de milles et une couleurs, au murs il y avait des tableau de la mythologie, comme Kronos dévorant ses enfants ou encore Hercules face a l'hydre. A gauche il y avait une impossante cheminée, sculpter très finement. A côté de cette cheminée il y avait une porte en bois, donnant sur un escalier menant au autre étage du château. En face sur le mur de droite il y en avait une autre , qui permettait d'aller dans les autres pièce du rez-de-chausser. Enfin au mur du fond, la porte menait a se qu'on peut appeler une pièce spécaile, vampire, interdite a pas mal de personne. C'était meubler très richement, mélangeant le style contemprain a l'époque du XVIIIéme siécle et du moyen age.
Vlad était assis dans le grand fauteil rouge qui était en face de la cheminée, il tournait entre ses long doigts une bague en or, fixant avec un regard vide les flammes dans la cheminée. Il réfléchissait a comment faire la chose, la dernière demande en mariage qu'il avait fait remontait a plusieurs siécle. Il savait très se que cela signifirait si cela devait se faire : au point de vue de l'Angleterre, et des autres humains, le Royaume serat munis d'un nouveau Duc, Oxford aurait alors retrouver son véritable visage de Duchés masculin. Le fait de devoir avoir se genre de travail l'éffrayer point, loin de là il fût empereur, il sait se que c'est. De plus cela lui permeterais de se balader parmis les mortels avec une couverture de plus et des excuses . C'était surtout le changement pour julie qu'il l'inquiétait le plus, car au yeux de la communeauté vampire, elle serait reine, leur reine.
Mais d'un côté il s'en fichait de tout les complications ou autre, il en avait besoin. La jeune femme lui avait apporter tant de choses qu'il avait perdus, lui avait redonner des choses qu'il avait oublier depuis tant de décénnies, il avait besoin d'elle. Il se sentait vraiment mieux, et elle aussi, son coeur meurtrie commençait a cicatriser et Dracula se savait capable d'appaisser se qu'il restait des bléssures. Mais un bruit vînt perturbé sa réflection, posant lentement la bague sur le petit meuble a côtès de lui il se levat et ouvrit la porte impossante ( alors qu'il aurait fallut 2 humains normale pour l'ouvrire). Devant lui dréssait un homme décider, enfint un soldat décider. Mais le vampire sentait très bien une part d'hésitation. En quelque seconde de regard Vlad sut se qu'il avait a savoir sur la vie de cette homme.

-Amiral....puis-je vous aider??

HJ: Vladislas et pas Vladimir XDDDDD on me l'avait encore jamais faite celle là!! Vive nos Marie . Et non il est pas télépathe mais Empathe ( vais pas partire dans une description des deux pour comprendre la différence -_-) sa fait partie de ses nombreux dons, c'est pas que un vampire maus aussi un démon ( puisque c'est le sang du diable qu'il la transformer) il a pas mal de "pouvoirs".



Dracula, n'était que intuitif, c'était une créature créer par le Diable lui même. Une créatures doter de capacités dépassant l'imagination des mortels. Tel l'immortalité au temps, au bléssures et au maladies. L'empathie, la métamorphose, la télépathie animal et le contrôle de certaines chose comme la brume ou la pluie ( inspirer des films parlant de Dracula^^ sa vient de toute sorte de film^^),et la régénération. Le comte ne savait pas touts les détails de la vie du soldat, juste ce qui a savoir, comment il a débarquer a Port-Royal, le rejet d'Elysabeth, sa dépréssion et son retour a la Compagnie, et bien sûre se qu'il avait réssentit au niveau de ses évênements.
Voyant que le mortel devant lui était tout aussi polie que sincère, le vampire eu un petit sourire amical, loin de ses sourire sadique, découvrant ses dent blanches et longues canines. C'était un homme qui avait tout les honneur, mais que la vie n'avait pas voulut récompenser, et cela Drac le respectais, il n'avait pas besoin d'être odieux avec lui, c'était un homme comme Julie.

-Oui, vos informations sont bien juste. Mais j'ai bien peur qu'elle ne soit pas présente, un affaire importante a dût la forcer a quitter la ville quelque jours, rien de bien grave, mais elle serat de retour que dans deux jours. Mais je peut toujours lui transmettre un message ou autre.

Comment?? Avez vous oublier les capacités physique d'un vampire?? Rejoindre la Duchesse lui prendrait quelque minute maximum.

-Mais entrez donc qu'on puisse en discuter. Il me semble que les Anglais boivent du thé l'aprés midi non? Ou alors un verre, je sais pas d'alcool pendant le service, mais un sirop ou autre? On serat plus a l'aise que devant cette porte.

Hj: Bah dis donc... Et c'est quoi le modèle de base ? "xP


Si James fut contrarié par cette absence,il n'en montra rien.À peine sa mine se fit pensive,mais en homme pratique -à l'instar de Dracula-,il ne s'apesantissait pas sur les écueils,préférant chercher une solution sans larmoyer.Bien sûr,dans certains cas,c'était bien plus compliqué,voire impossible... Des dilemnes intranchables,qui vous broyaient le coeur et tiraillaient mortellement votre âme... Alors autant régler ce que l'on pouvait arranger,pour ne plus avoir à subir que les interdits condamnés à ne se voir jamais couronnés de succès.
Son regard réfléchi glissa humblement au sol,alors que ses fines lèvres se plissaient imperceptiblement en une moue pensive,subtilement affligée.

-Monsieur,vous me verriez fort mécontenté de m'imposer,et d'ainsi vous importuner outre mesure...

Surtout que le soldat était pour ainsi parler "sorti en cachette",et qu'il y avait toujours quelques tâches à accomplir,quelques textes à rédiger,quelques discussions à tenir pour la bonne marche de la vie dans la forteresse veillant sur la ville portuaire.
Mais d'un autre côté,l'expression "visite diplomatique" existait aussi,pouvant servir de prétexte à une après-midi d'absence.Et n'était-ce pas fort impoli de repousser une invitation émanant d'un si noble personnage ? Ni une ni deux,un fin sourire se traça malicieusement sur les traits du militaire.Après tout,derrière un ange,il y a souvent également un petit démon,et inversement...

-Mais cela dit,ma foi,je serai immensément honoré de pénétrer en une demeure aussi admirable.Avec tous mes remerciements,monsieur le comte.

Enfant des rues issu du peuple,et bien que certains bien nés ne mérient même pas le mépris que l'on éprouve quant à leurs agissements égocentriques et éhontés,James ressentait certes du respect pour les nobles,mais aussi une certaine admiration pour ce rang offert non pas au mérite mais à la naissance;cette strate de la société à laquelle peu appartenaient,et à laquelle il ne toucherait jamais,mais qu'il regardait d'en bas comme on croit voir Dieu à travers le vitrail d'une église.Pouvoir ne serait-ce que glisser un coup d'oeil par l'entrebaillement du portail y menant étant trop tentant pour fermer les yeux.
Norrington fit donc deux pas à l'intérieur,parfaitement à l'aise,avant de se retourner vers le vampire dont il ignorait encore la véritable nature -gloups !-,ne voulant pas faire croire qu'il se permettait d'évoluer içi comme s'il se trouvait chez lui.Il lui incombait,selon la bienséance,à prodiguer au maître des lieux la raison de sa venue.

-En réalité... Et bien je venais proposer un contrat à miss Sparrow.Il se pourrait en effet que je sois en une position propice à émettre auprès de mademoiselle Julie une... Proposition,disons.J'aurais besoin de ses services,et ai dans l'idée de lui soumettre un marché équitable où nos deux partis trouveraient bénéfices.

Clair,concis,juste ce qu'il fallait pour ne point être cachotier,mais pour ne pas non plus en dire trop long,c'est-à-dire signifier qu'on ne voulait pas s'étendre sur le sujet.L'expression ainsi que le regard de l'anglais le signifiaient de manière relativement apparente.Détails inutiles,compte-tenu de l'empathie du buveur de sang.

Hj: désoler du temps, mais je savait pas du tout quoi rep (c'est toujurs le cas alors désoler de ce petit rp ><)


-Mais, je vous invite avec grand plaisir, ne pensez dont pas que vous me déranger. Ne croyez vous pas que si c'était le cas je ne vous inviterais pas??

Il eu un peutit sourire, fin et égnimatique mais très amical, comme si ils étaient pote depuis des années!! (XD)
Après que l'Amiral soit a l'intérieur, Dracula fermit la lourde et impossante porte. Il se dirigeant vers un meuble en bois a droite de la cheminée, et prit une bouteilel et deux verre.

-Un contrat?? Rien de bien comprométant j'éspére. Connaissant Julie, si c'est pour aider son prochain elle ne dirat pas non. Perméttez ma curiosité mais que serait se dile??

Il versat le contenut de la bouteil dans les deux verre et s'approchat d' l'humain, et lui tendit un verre. c'était de la limonade, bien frâiche.

Hj: T'inquiètes,ma choute ^^ Vais essayer de t'ouvrir des portes >>




Mais c'était que tant de monde -surtout de "l'autre côté de la barrière"- ne jurait que par l'hypocrisie ! Une situation vous déplaisait ? Vous l'acceptiez tant bien que mal en affichant un sourire courtois,masquant au mieux vos véritables pensées.Non,plus le temps passait,et plus l'on préférait mentir pour accomoder les gens plutôt que d'être franc,d'assumer pleinement ses émotions.
En parlant de sentiment,James se sentit soudain dans ses petits souliers.Saisir le verre qu'on lui tendait si gentiment lui permit de baisser les yeux,tout en cherchant ses mots.

-Merçi.Silence de quelques poignées de secondes.Rassurez-vous,il n'y a rien d'illégal dans ce que je projette d'entreprendre.Rien en dehors de la Loi... Mais qui risquerait fort de courroucer au plus haut point certains pontes de la ville,si jamais ils l'apprenaient,vous comprenez ? J'imagine que si mon projet relevait réellement de la bonne action,je n'aurais pas à agir ainsi,sous cape... Mais une vie est en jeu.Deux,si l'on compte la mienne.J'ai toute confiance en miss Julie,qui m'a paru dès notre première rencontre une personne à l'âme noble et volontaire,prompte à aider son prochain.Je ne puis prendre de risques inconsidérés.Cependant...

Durant ce bref monologue,il avait gardé les yeux fixés sur sa boisson,comme si une image avait été gravée sur le fond du récipient,bien que sa voix soit restée neutre,et surtout grave.
Pourtant,pour terminer cette phrase,Norrington releva le nez,et ses iris couleur acier se mêlèrent à ceux bleus du comte.Tâcher de savoir si on pouvait se fier à lui aurait été impossible;ce fut donc une sorte de demande muette et peu assurée que traduit ce regard si respecteux,presque hésitant.

-... Vous êtes un ami de mademoiselle.Alors,et seulement de par ce fait,je me permets de vous demander ceci : puis-je me confier à vous sans inquiétude aucune...?

Partager un secret est toujours une source de réconfort,même minime.Et qui sait,Vlad aurait-il peut-être quelque conseils,en plus d'une oreille attentive ?

Le compliment du comte,quoi que vraiment généreux et touchant,ne fit que faire douter un peu plus le gradé.C'était vrai,il n'allait pas trahir les règles justes édictées par le pays qu'il aimait tant.Mais par la suite,certains pourraient causer des ennuis à la demoiselle,qui n'avait certainement pas besoin qu'on vienne lui dire d'horribles choses,l'accuser de "crimes" auxquels elle n'aurait rien eu à voir s'il n'était pas venu lui demander de l'aide... Et puis peut-être dirait-elle non ! Et ainsi,il serait venu pour rien,et repartirait avec encore ses ennuis sur les bras... Pauvres consciences d'êtres honnêtes ! Que d'affres elles subissaient,au nom de leur bonté de coeur...
Imitant son hôte,l'Amiral prit place sur un sofa d'un rouge pourpre -couleur de sang ?-,d'un moelleux incomparable,avant de s'humecter les lèvres.Malgré tout,jouer la partie jusqu'au bout ne lui serait pas reproché,non ?

-Et bien... Il chercha un instant ses mots,avant de se lancer à l'eau. Il s'agirait d'effectuer une traversée jusqu'à nos colonies les plus lointaines,les Indes,ou peut-être nos comptoirs chinois.À bord de son bâtiment ne se trouverait qu'une seule personne,qui m'est proche.Le rôle de mademoiselle Sparrow serait de mener dans le plus grand secret cette personne,afin que son départ ne soit point connu à Port Royal,et de la mettre en sécurité dans les plus brefs délais,sans qu'à aucune escale sa présence à bord ne soit repérée.Je suis prêt à rémunérer miss Julie comme le stipule la Loi,et largement,puisque tout travail mérite salaire,et ce en fonction de la gravite ainsi que de la dangerosité de ladite tâche... Il n'y aura pas d'autres passagers,de surcroît.Le seul véritable obstacle réside en de possibles opposants à ce départ... Ainsi qu'en l'unique voyageur.Qui n'est pas encore au courant de cette possible porte de sortie que je tente de lui obtenir.Qui n'a pas conscience des risques qu'il prend en restant ici.Et qui ne voudra certainement pas s'en aller.S'il le faut... Et bien l'embarquement de force serait le pire cas de figure.

La dernière phrase se termina d'une manière étrange,comme si une lame de guillotine avait tranché la voix de son créateur.Norrington déglutit : Annélie lui en voudrait jusqu'à la fin de ses jours.Sans comprendre qu'il faisait cela pour son bien ? Dieu qu'il devait avoir l'air piteux.
Afin de s'occuper,il avala une grande rasade de citronnade,laissant le goût doux-amer de la boisson lui picoter la langue.

Techniquement parlant, fuire un pays, signifait soit une trahison ou une situation délicate au niveau de la justice de pays. Et ici au Caraibes cela signifait la Compagnie des Indes Anglaise. Partie pour lInde, s'éxiler la bas serait sucdidaire puisque leur quartier général était la bas. Mais certe l'action était héroique, mais vraiment dangereuse. Beaucoup trop pour Julie, Vlda savait très bien ce qui pouvait lui arriver si ils étaient attraper, remarque le Roi ne laisserait pas un simple Lord s'attaquer a sa propre soeur ( enfin si c'est toujours le même roi, sinon c'était beaucoup plus compliquer).

-J'avoue que votre idée et très héroique, et cela est trés honorifique. Mais pourquoi Julie, je veut dire vous avez plus de chance d'avoir un bon résultat avec un corsaire, Julie a des responsabilité, s'absentée pendant plusieurs mois sans prévenir est supect, vous savez que votre supérieur accuse vite fait pour une trahison. Si cela ne vous dérange point j'accompagneraist cette escale, arriver a mi chemin, de laisserait votre ami - une femme j'imagine vu votre timbre de voix- a mes soin et je le conduirait moi même...

Cette perpective signifait qu'il devait la rendre inconsciente, l'assommer ou lui donner un sommnifer pour pas qu'elle voie la manière dont le comte se déplacait.

-Une femme...? balbutia l'Amiral,surpris qu'une pareille chose puisse être devinée aussi simplement.Je ne vois absolument pas...

Le rapport.Ce qui vous fait dire ça.Certainement ta tâte,songea James,qui se racla la gorge,décidant de passer outre.Fou comme ce genre de sujet,où une demoiselle venait poindre son nez,le mettait toujours dans des situations... Le faisait toujours se comporter comme... Oui,Norrington le reconnaissait,il peinait avec la gent féminine.Quel homme pourrait dire le contraire ? Pas mal de séducteurs.Les hommes vraiment sûrs d'eux.Le comte également,sans doute.Le compliment de Dracula ne parvint d'ailleurs pas à dissiper la tension des épaules du militaire.Les aléa du métier,comme on dit.Le métier d'homme bien.Pas étonnant qu'il y en ait si peu.Vu comment s'en sortir tenait du miracle,sinon de la haute voltige.

-Croyez-moi votre Excellence,je ne fais cela ni pour la gloire,ni même pour l'affection ladite demoiselle,qui refusera de m'écouter si jamais j'essaie d'évoquer un possible départ de Port Royal.Je m'efforce simplement de me dire que j'agis pour son bien,malgré elle.Est-ce juste de choisir à sa place ? De diriger sa vie,ne serait-ce qu'un jour,qu'une minute,et cela sous ce que j'appelle,moi,être partial,sa "survie"... Au fond,je vous comprends.Vous souhaitez également protéger miss Julie,et je le comprends.Pour le peu qu'elle a bien voulu m'apprendre d'elle à bord de son vaisseau,son existence ne fut pas des plus simples.Ne pas vouloir s'engager dans pareille aventure... Ne pas vouloir la voir se lancer là-dedans...

Le soldat avait-il compris les sentiments de Vladislas vis-à-vis de la jeune soeur de Jack Sparrow ? Certes,il n'avait pas vu le petit coffret à l'intérieur duquel le noble conservait l'alliance qu'il destinait à sa bien aimée.Et ne possédait aucun pouvoir hors du commun.Juste son coeur.Et son expérience de l'Amour,pour ce qu'elle valait.
Oui,sans doute Vlad redoutait le jour où la belle prendrait des risques,loin de lui,loin de son secours,de sa protection.La voir s'éloigner.Mettant de la distance entre elle et l'affection de celui qui tremblait pour elle jour et nuit.Cela ne vous rappelait aucun autre couple ? Qui sait,malgré d'énormes détails,James et le vampire n'étaient pas si différents.

-Mon choix s'est porté sur elle,reprit Norrington les lèvres,pincées,tout en gardant le dos bien droit,car elle semblait à la fois respectueuse de la Loi pour venir en aide à une victime de l'homme qu'elle juge,il m'a semblé,dur et cruel dans certains de ses choix,courageuse et droite,et assez aventurière pour justement s'élever contre cet homme et ses jugements arbitraires.Votre offre est tout à fait honorable,monsieur -James but une gorgée d'orangeade,les yeux dans les yeux avec le comte- Mais je ne vous connais cela dit aucun navire... Seriez-vous le second du Liberty ?

Simple question,bien sûr.Mais si l'anglais était autant prêt à remettre aux bons soins de Julie -une femme en laquelle,même après une simple conversation,il avait confiance- Annélie,il n'en allait pas exactement de même avec Vladislas,dont il ne savait rien.À part qu'il ne sortait pratiquement jamais de sa demeure,ce qui n'était pas franchement quelque chose le plongeant en une assurance transcendante... Le britannique voulait que l'ex-Princesse partes,certes,mais pas avec le premier venu.

Il faut croire malgré l'arrogance des immortels, qu'eux et les mortels n'étaient pas si différents. Le Comte et le millitaire avait au moin en commum le fait qu'une femme les avait détruit et rendut fragile et que seule une autre femme pouvait les sauver. Il fallait simplement là trouver, c'était le cas pour Vladislas mais malheureusement pas encore pour James. Et pour cela le vampire respecterais toujours le millitaire, et aura de la compassion pour lui.

-Oui vous avez raisons. Comme vous l'avez dit précédament, cela n'est pas sans danger. Bien quelle soit forte phychologiquement Julie n'est pas immortelle et pourrait mourir d'un simple coup de feu pour une femme qu'elle ne connait point. Et qui doit fuir le pays, donc une traitre. Fuir les autorité et aller en Inde est pas trés malin Amiral, oublier vous que c'est là bas à Madas il qu'il à le quartier Général de la Compagnie des Indes.

Le Comte prit une autre gorgée qui vint rafraichire sa gorge. Il avait un mauvais présentiment dans ce projet. Il préfrérais emmener la jeune femme lui même. Il ne voulais rien risquer pour Julie.

- Bien qu'elle serait contente de se mettre dans le chemin de Beckett, n'oublier pas qu'elle est là seconde femme de se pays. Elle représente la Loie. Etant dirigeante des armées, elle peut trés bien rendre le départ de votre Amie légale. Il faudrais que Beckett se souvienne qu'elle est son deuxième patron et que toute armée du pays, que se soit la Compagnie, la Marine ou la cavalerie obéi d'abbord à elle et aprés au grader. Je ne suis pas Capitaine d'un navire mais j'en ai trois qui m'appartienne. De bon gras, respectueux et fidel. Elle pourrait trouver Asile dans mon pays, les gens son trés acceuillant et chaleureux....

Bien qu'une demande dans se genre pouvais être suprenante et culoter. Vladislas voulait vraiment aider l'Amiral. Cet homme le méritait vraiment, peut être que la dite femme le méritait. James était un homme qui méritait qu'on l'aide dans ce qu'il entreprenait. Le Comte tapota de ses doigts sur le verre. Si James voulait vraiment titiller le détail, où qu'elle aille cette femme était en danger, si elle voulait fuir Cutler Beckett le seul endroit où elle serait tranquil c'était le purgatoire. Car téméraire comme il est il là retrouverais. Le Comte s'inquiètait plus pour Julie, et les idée tordus de James qui pouvait lui nuire.

-Dans une semaine elle pourrat partire. Si sur la route elle désire être déposser dans un port ou un pays se lon ses désire cela serat toujours possible.

[HJ: abuser ta sign me fait chialer -_- ( *nunuche vas* suis pas nunuche mais cette salo** j'ai envie de la tuer a chaque foie que je la voie *c'est surtout que c'est juste avant la mort de james* mouiiiiiiiiiiiiin T_T)

Oui, en efft, dans tout il y avait un prix a payer. Le retour de médaille, la régles des 3, appeler cela comme vous voulez mais il y avait toujours un échange. Et Vladislas en savait long sur ses prix à payer pour si peut de choses. Les choses qu'on donne, par affection, par amour et par déséspoire. Il avait consacré toute sa vie a la protection de son pays, quitte a se montrer des plus cruel et sanguinaire et pour cela on lui avait prit sa femme. En échange de la vie éternel et un moyen de redomption il était devenut la plus vil des créature condamné à vivre seul le reste de l'éternité. Oui la vie vous donnait, mais elle reprenait beaucoup.

-Le prix?? Oh mais inutile de parler d'argent voyons. Vous n'avez rien à avancez. Je sais bien que ce n'est pas votre salaire de soldat qui peut vous permettre une quelquonque....folie financière.

Il plongeat sa main dans une de ses poches intérieure.

-Je vous demanderait une seule chose.....

Hj: Pareil... Cette scène me chamboule toujours autant... Mais James n'a jamais été aussi parfait qu'au cours de cette dernière... ;.; J'l'aime <33 *partage son kleenex avec la miss*




En même temps,il était normal que de l'or,du "simple" or n'intérsse point un être comme Dracula.D'une part car,en tant que comte,les soucis comptables n'existaient pour ainsi dire pas dans son monde : problème de mortels,mais aussi de personnes ne possédant pas ses richesses.D'autre part parcequ'il faudrait être véritablement au fond du fond du trou pour ne pas connaître une manière,légale ou non,d'arrondir ses fins de mois.À votre avis,comment la EITC avait atteint l'oppulence qui était la sienne ? Un système que dénonçaient les pirates,dont la voix ne pouvait porter,viciée par leurs propres larcins.Oui,ainsi se présentait la société du XVIIIème siècle : tournant autour de l'argent encore plus que de nos jours.Inutile de songer à parler d'amour sans pécule substanciel;les voitures,les vêtements,les spectacles,les cadeaux,tout cela coûtait plus que l'on ne pouvait se le figurer.Quant à la carrière professionnelle,des deniers de côté vous ouvraient difficilement de grandes possibilités,si votre héritage ne dépassait pas grandement vos dépenses journalières.
Et,parfois,au milieu de ce monde avare,des gens différents.Comme James qui,comme le disait si bien l'aristocrate venu d'Europe de l'Est,ne vivait pas avec le standing d'un prince de sang.Et lui-même,ce personnage mystérieux,demeurant en un petit palais gothique,mais se refusnat à toucher ne serait-ce que cent livres pour ses services.
L'Amiral,sur le coup,trouva cette réponse étrange.Oh,n'allez pas croire que ne rien avoir à débourser passait à ses yeux pour une horreur insurmontable.Mais qu'on désire autre chose... Venant de lui... Alors qu'il n'avait encore jamais recontré auparavant son futur débiteur... Sa curiosité ne fut imancablement titillée.

-Je vous écoute,monseigneur.

Allez,juste pour nous creuser un peu les méninges : que pouvait bien désirer Vlad ? La vie de James -dans ce cas,ledit hypothétique sacrifié aurait mieux fait de déguerpir sans demander son reste- ? Qu'il renonce à jamais aux sentiments humains -argh... Mais dans un sens,vu le rang social de Beckett,la voie de la réussite s'ouvrirait peut-être à lui...- ? Ou pire encore pour l'anglais,qu'il renonce à jamais à Elizabeth ? Après tout,le vampire connaissait son histoire.Pour sauvegarder sa plus chère amie,perdre la femme de sa Vie.Un superbe dilemne,tout de tragédie et de torture.